P. Coelho
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29082011
P. Coelho
«
Une rose rêvait jour et nuit de la compagnie des abeilles, mais aucune
ne venait se poser sur ses pétales. La fleur, cependant, continuait à
rêver. Durant ses longues nuits, elle imaginait un ciel où volaient de
nombreuses abeilles, qui venaient tendrement l’embrasser. Ainsi, elle
parvenait à résister jusqu’au jour suivant, où elle s’ouvrait de nouveau
à la lumière du soleil. Un soir, connaissant la solitude de la rose, la lune demanda :
« N’es-tu pas lassée d’attendre ?
- Peut-être. Mais je dois continuer à lutter.
- Pourquoi ?
- Parce que si je ne m’ouvre pas, je me fane. »
Dans les moments où la solitude semble écraser toute beauté, nous n’avons d’autre moyen de résister que de rester ouverts. »
L’ouverture est le chemin incontournable de l’action.
Comme le fleuve qui coule - Paulo Coelho
Une rose rêvait jour et nuit de la compagnie des abeilles, mais aucune
ne venait se poser sur ses pétales. La fleur, cependant, continuait à
rêver. Durant ses longues nuits, elle imaginait un ciel où volaient de
nombreuses abeilles, qui venaient tendrement l’embrasser. Ainsi, elle
parvenait à résister jusqu’au jour suivant, où elle s’ouvrait de nouveau
à la lumière du soleil. Un soir, connaissant la solitude de la rose, la lune demanda :
« N’es-tu pas lassée d’attendre ?
- Peut-être. Mais je dois continuer à lutter.
- Pourquoi ?
- Parce que si je ne m’ouvre pas, je me fane. »
Dans les moments où la solitude semble écraser toute beauté, nous n’avons d’autre moyen de résister que de rester ouverts. »
L’ouverture est le chemin incontournable de l’action.
Comme le fleuve qui coule - Paulo Coelho
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