Laurent Mourot-Faraut
Page 1 sur 1
29082011
Laurent Mourot-Faraut
Je suis dans mes nuages, blanc, tout est blanc,
Je m’enroule dans les draps, j’invente des paroles,
Et je les chante pour toi, je caresse des montagnes,
Je me transforme en ange et je construis la nuit,
Des formes de tes hanches, d’une main que j’oublie,
Je forme des vagues que je caresse et qui divaguent,
Je suis plus doux qu’un ange qui deviendrait fou,
Je te fais l’amour, mais cela se transforme en danse,
Deux cygnes blancs sur la mer blanche et un ange,
On joue Mozart sur les tribunes qui nous regardent,
Je sens tes lèvres, je sens tes mains, j’en deviens fou,
C’est comme dans une prière en laquelle on croit,
Mes doigts glissent, mon âme s’emporte jusqu’à toi,
Mes lèvres prononcent des mots d’amour, toujours,
A croire qu’elles ne savent faire que cela, je crois,
Je brûle mes pensées sur ton corps qui s’enflamme,
Je me consume, je m’éteins en me noyant dans tes yeux,
Je suis saoul de tes formes, de ton sourire, de toi,
Je suis encore tes notes, tu joues les métronomes,
Je te suis, tu es mon professeur, je ne suis que douceur,
Le vent, en traversant la fenêtre souffle sur nous,
Je te tiens la main, nous ne parlons plus, puis, enfin,
Nos mains se serrent, doucement, comme un refrain,
Je me retourne, je te regarde, et, je te dis que je t’aime….
Laurent Mourot-Faraut
Je m’enroule dans les draps, j’invente des paroles,
Et je les chante pour toi, je caresse des montagnes,
Je me transforme en ange et je construis la nuit,
Des formes de tes hanches, d’une main que j’oublie,
Je forme des vagues que je caresse et qui divaguent,
Je suis plus doux qu’un ange qui deviendrait fou,
Je te fais l’amour, mais cela se transforme en danse,
Deux cygnes blancs sur la mer blanche et un ange,
On joue Mozart sur les tribunes qui nous regardent,
Je sens tes lèvres, je sens tes mains, j’en deviens fou,
C’est comme dans une prière en laquelle on croit,
Mes doigts glissent, mon âme s’emporte jusqu’à toi,
Mes lèvres prononcent des mots d’amour, toujours,
A croire qu’elles ne savent faire que cela, je crois,
Je brûle mes pensées sur ton corps qui s’enflamme,
Je me consume, je m’éteins en me noyant dans tes yeux,
Je suis saoul de tes formes, de ton sourire, de toi,
Je suis encore tes notes, tu joues les métronomes,
Je te suis, tu es mon professeur, je ne suis que douceur,
Le vent, en traversant la fenêtre souffle sur nous,
Je te tiens la main, nous ne parlons plus, puis, enfin,
Nos mains se serrent, doucement, comme un refrain,
Je me retourne, je te regarde, et, je te dis que je t’aime….
Laurent Mourot-Faraut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|